Jean-Paul Lecoq sur France 3 : la voix est libre

Publié le par Parti Communiste Français section Eu le Tréport

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Jean-Paul Lecoq est un homme politique français, né le 13 octobre 1958 au Havre (Seine-Maritime). Jean-Paul Lecoq est communiste, membre du PCF. Il est adjoint au maire de Gonfreville-l'Orcher depuis 1989, et devient maire de cette ville en 1995. Réélu en 2001, élu aussi au conseiller régional de la Haute-Normandie depuis 1998. Conseiller régional de la Haute-Normandie élu sur la Liste « À gauche avec Alain Le Vern, une région d'avance » (PS - PCF - PRG - Les Verts) il est vice-président chargé de la santé. Depuis 2001 il est aussi vice-président de la communauté d'agglomération du Havre (Codah) dont le président est le maire UMP du Havre Édouard Philippe. Il est élu député le 17 juin 2007, avec 51,11 % des voix pour la XIIIe législature (2007-2012), dans la circonscription de la Seine-Maritime (6). En 2008 il remporte les élections municipales dans sa ville Gonfreville-l'Orcher avec un score de 85,64 %. En janvier 2011, Jean-Paul Lecoq interpelle le gouvernement sur la livraison secrète de matériels de répression au régime chancelant du dictateur Ben Ali. La ministre des affaires étrangères, Michèle Alliot-Marie, s'empêtre dans une réponse qui ne parvient pas à cacher sa complaisance avec le pouvoir tunisien. Il s'ensuit une polémique alimentée par la révélation de différentes connivences personnelles, qui aboutit à la décision du Président de la République et du Premier Ministre de "démissioner" une Ministre dont la voix est "devenue inaudible" au niveau international, notamment auprès des peuples arabes en pleines révolutions.
En juin  2011, Jean-Paul Lecoq annonce sa participation à la "flotille pour Gaza", destinée à protester contre le blocus de ce territoire par Israël. A Alain Juppé, ministre des Affaires étrangères français, qui a demandé aux Français voulant participer à cette initiative d’y renoncer, le député de Seine-Maritime a répondu: « Alain Juppé ne doit pas se faire le porte-parole de Netanyahu mais au contraire s’inscrire dans les valeurs de la République française qui nous invitent à rompre ce blocus »

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